Arrivée pour l'examen final

Au cours du vol jusqu'à konoha, je perdit la trace de Zeke. Ce petit oiseau de malheur allait apprendre qu'on ne projette pas le raikage en plein vol dans les vitres d'un bureau. Mais j'avais d'autres choses à faites pour le moment. Le dragon que j'avais invoqué était plus rapide que Zeke, mais j'aimais mieux la relation de fraternité qui commençait à s'installer entre Zeke et moi. Arrive au dessus de konoha : je désactiva le champs de force localement autour de moi, histoire de pas rameuter les forces spéciales pour rien. Je dissipa le dragon une fois arrivé sur le bâtiment hokage. Puis, je coupa un fin pan de tissu pour me recouvrir la moitié du visage, seul un œil était visible. Je désactiva mes pupilles, puis descendit au bureau du secrétariat. Je frappe à la porte, ok m'invite à entrer.

- Oui, que se passe t'il?

- j'aurais voulu savoir si le hokage était disponible?

- malheureusement non, maitre hokage est de sortir ce soir.

- bien. Dites lui alors que celui qu'un visiteur inconnu l'attend a l'hôtel du centre.

Et mince, sa allait éveiller les soupçons.. Tant pis.

Elle acquiesça puis me regarda bizarrement.
Je dis demis tour, alla a l'hôtel du centre et loua une chambre. Je sorti un papier, et commença à rédiger mon rapport pour azuza. Je décrivit ma rencontre, l'accord passé entre nous. Je fis un rouleau que seule Aizawa pourrais briser le sceau, puis écrivit un deuxième rapport : l'annulation directe du statut de azuza dans tous les bingo book. J'écrivais dans ce rapport que tout ces actes étaient en fait des anciennes missions secrètes pour le raikage. J'engageait la responsabilité du village, mais sa en valait la peine. Je décidait de la couvrir pour tout ces meurtres, et de rendre publique la nouvelles plus tard. Une fois mes rapports créés, j'allais au service volatiles de konoha.

- Bonjour

- Salut. Combien pour deux lettres à destination des cinq kages?

- 700 yens.

- Dur.. Les voilà.

Je sorti ma bourse et paya le chunin. Il prit mes lettres, et en voyant le sceau du raikage je le vit pâlir : il compris qu'il venait de demander une grosse somme au raikage. Avant qu'il n'ait le temps de parler, j'étais déjà parti. Je retourna a l'hôtel, et la nuit tombante aidant, je me coucha tranquillement. Demain j'attendrais la visite de minato..